Invités d’honneur
Matt Greenfield et Tiffany Grant
Invités spéciaux Mel Gosselin HOSHI★FURU Love Cosplay Magazine Nadeshicon Turnabout Nie-Chan |
Invités cosplay Armurita Melissa « Jusdepomme » Langlois Karine « FrenzyWonder » Pasquier |
Et plus à venir!
Invités d’honneur : Matt Greenfield et Tiffany Grant
Matt Greenfield
Figure dominante de l’industrie et cofondateur d’ADV FILMS!
Avec plus de 1000 films et épisodes à son actif, Matt Greenfield écrit, dirige et produit des animés et des programmes en live-action (en plus des occasionnelles bandes-dessinées) depuis la nuit des temps. Son travail a été distribué internationalement par, entre autres, ADV Films, Anime Network, FUNimation, Happy Carrot, Madman Entertainment, Maiden Japan, Media Blasters, Sentai Filmworks, Section 23, SoftCel Pictures, Switchblade Pictures et Syren. Né en Californie, il décroche rapidement et passe ses jeunes années à errer à travers les États-Unis, absorbant dessins animés, livres de science-fiction et films d’horreur comme une éponge — savoir qu’il filtre et utilise maintenant afin de gagner sa vie.
Marié à la charmante et vive Tiffany Grant (qui a approuvée cette biographie), une TRÈS brève liste des travaux marquants de sa carrière incluent : NEON GENESIS EVANGELION, GUNNM, GAMERA : GARDIEN DE L’UNIVERS, le classique de Godzilla LES ENVAHISSEURS ATTAQUENT et des centaines d’autres animés à succès tels que : BUBBLEGUM CRISIS, TOKYO 2040, EXCEL SAGA, GANTZ, GODANNAR, GOLDEN BOY, GUNSMITH CATS, MACROSS, NADESICO, NOIR, SPRIGGAN, PRINCESS NINE et RAHXEPHON.
C’est sans compter qu’il a géré la distribution de quelques titres reconnus comme : l’ANDROMEDA de Gene Roddenberry, BEASTMASTER, MEGAMAN, MUTANT X, REBOOT (MÉGABOGUES), ROBOTECH, SHADOW RAIDERS/WAR PLANETS, SAILOR MOON, SONIC THE HEDGEHOG, STREET FIGHTER 2 (RU) et… nous manquons d’espace, alors nous conclurons avec quelques-uns de ses plus récents projets : TEARS TO TIARA, BLUE DROP et d’autres merveilleuses séries qui seront bientôt dévoilées!
Contrairement aux rumeurs, ses hobbies ne sont PAS de manger des bébés ou de torturer les doubleurs (malgré que ce dernier fasse partie de son top 10).
Tiffany Grant
Doubleuse américaine de grand renom!
Tiffany est impatiente de visiter la ville de Québec pour la première fois! Mieux connue comme étant la voix anglaise d’Asuka de NEON GENESIS EVANGELION, Tiffany est la première doubleuse d’animés engagée au Texas, en février 1994.
Elle a maintenant prêté sa voix à plus de 1000 épisodes, OVA (animation video originale) et films incluant : AZUMANGA DAIOH (Kaorin), CHRONO CRUSADE (Satella), BLUE SEED (Kome), GOLDEN BOY (Madame la Présidente), FMP? FUMOFFU (Bonta-kun), GODANNAR (Shizuru), FULL METAL ALCHEMIST (Marta), MABURAHO (Kuriko), ONE PIECE (Nojiko), YAMATO NADESHIKO (Auntie), NOIR (Altena) et TSUBASA RESERVOIR CHRONICLES (Ashura). Crédits de jeux videos : UNLIMITED SAGA, DEUX EX II : INVISIBLE WAR. Ses récents projets comprennent : INFINITE STRATOS, BOOK OF BANTORRA et MAJIKOI.
Mme Grant a adaptée plus de 200 scriptes de doublage pour des émissions de télévisions telles que : ANGELIC LAYER, HELLO KITTY’S ANIMATION THEATER, TEARS TO TIARA, AH! MY GODESS 2, YAMATO NADESHIKO et le film live-action coréen MIYUKI-CHAN IN WONDERLAND. Elle a aussi écrit les sous-titres anglais pour certains projets incluant : MIYUKI-CHAN IN WONDERLAND et le live-action TOKYO – THE LAST MEGALOPOLIS.
De plus, Tiffany a contribué aux albums « Voices for Peace » et « Voices for Tolerance » (www.voicesfor.org). Les CD et les liens de téléchargement sont disponibles à www.cdbaby.com et sur iTunes. Tous les profits vont à des œuvres de charité comme Médecins Sans Frontières.
Ses projets ne touchent pas uniquement aux animés, ils incluent ARLINGTON ROAD (avec Jeff Bridges) et les films indépendants produits au niveau local : LAUGHING BOY, DEAD OF KNIGHT et LARS THE EMO KID. Tiffany possède des années d’expérience en cinéma et en publicité et a une dépendance incurable pour Hello Kitty. Pour plus d’informations, veuillez visiter le http://tiffanygrant.eva-r.com.
Mel Gosselin
Cosplayeuse et auteure
Originaire de Rimouski, Mel Gosselin est d’abord et avant tout adepte des mangas et des jeux vidéo. Auteure du roman « Cétacia » qui a remporté le prix d’excellence des arts et culture Desjardins en 2012, Mel Gosselin ne se cache pas de s’être largement imprégnée du dynamisme et du rythme que l’on retrouve dans les séries d’animation japonaise pour créer son récit, en particulier celles d’Osamu Dezaki (Rémi sans famille [Ie Naki Ko], Lady Oscar [Versailles no Bara]…).
Jusqu’à présent, Cétacia a été très bien accueilli par la presse et la critique, tant pour son originalité que pour son intrigue bien ficelée. Le Journal de Montréal l’a, entre autres, qualifié de « franchement intriguant, perturbant et frappant, mais aussi très sombre et parfois choquant » tandis que le producteur Rock Demers a affirmé qu’il s’agissait « d’une histoire ambitieuse, bien construite et qui nous réserve plusieurs surprises ». Cétacia est maintenant suivi d’un deuxième tome, plus mature, plus effarant et qui devrait ravir les amateurs de yaoi.
Entrevue de Mel Gosselin à TVA.
HOSHI★FURU
Groupe de musique rock
HOSHI★FURU is a rock band from the GTA, Ontario, Canada. Originally formed in 2008, the band only began to put into action its plan of performing and promoting original music heavily influenced by Japanese pop and rock in 2012. The line-up consists of Maria on vocals, Nan on guitar, Nick on bass, and Danny on drums.
Although primarily influenced by Japanese pop and rock, HOSHI★FURU’s music is also influenced by a variety of other genres such as hardcore punk, metal, and screamo.
HOSHI★FURU has been performing at anime conventions across Ontario and Quebec, including an appearance in Canada’s premier fan-run anime convention Anime North in 2012. The band is set to release their debut EP on March 15th, 2013.
Love Cosplay Magazine
Magazine sur la passion du cosplay
Nous sommes plus qu’un simple magazine, nous sommes des artistes, nous sommes des rêveurs et nous sommes une famille du cosplay. Dédié à tous mes rêveurs qui se battent pour leurs rêves. – Droo
Love Cosplay Magazine sera un magazine imprimé de grande qualité. Transformer les rêves en cosplay, par des rêveurs, pour des rêveurs. Un magazine pour les cosplayeurs, par des. Il sera plein de conseils, tells « comment faire… », des présentations de cosplayeurs/costumiers des quatre coins du monde et de l’information sur des conventions. Aimez-vous le cosplay?
L’homme derrière la magazine, Droo Chin, sera dans la salle marchande du festival pour prendre des clichés de vos plus ressente créations! Qui sait, dans un futur pas si lointain, vous ferai peut-être parti de son magazine…
Nadeshicon Turnabout
La pièce de théâtre interactive!
Vous avez toujours voulu être avocat? Vous avez toujours rêvé de défendre des célébrités lors de procès monstres? Dans ce cas, vos rêves peuvent enfin devenir réalité!
Ace Attorney : Nadeshicon Turnabout est une pièce de théâtre interactive ou des participants choisis parmi la foule sont amenés à monter sur scène afin d’aider l’avocat de la défense à défendre son client. Inspiré d’Ace Attorney: Phoenix Wright, les participants devront aider Mia Fey à défendre leurs clients contre Klavier Gavin au cours de plusieurs volte-face imprévisibles.
Venez assister à notre nouveau procès de Final Fanatasy!
Pourrez-vous trouver la contradiction qui sauvera la vie de votre client?
Nie-Chan
Cosplayeuse et photographe
Annie Brassard, alias Nie-Chan, est surtout connue en tant que photographe, cosplayeuse et pour son amour pour la mode de rue japonaise. Vivant depuis plus d’une douzaine d’années dans la belle ville de Québec, mais venant du Saguenay, elle a toujours été passionnée depuis son plus jeune âge pour les mangas, l’animation japonaise et pour tout ce qui touche de près le Japon.
En 2010, elle est devenue, tout à fait par hasard, photographe cosplay et depuis ce jour elle offre ses services bénévolement lors d’activités et lors de conventions où le cosplay est à son honneur. C’est ça manière à elle de faire sa part pour que ces événements continus d’exister et afin d’émerveiller ses propres yeux de l’astuce et de la créativité des cosplayeurs.
Possédant sa propre entreprise de photographie depuis peu, elle fait de la photo pour pouvoir avoir un contact privilégié avec les gens. Avec sa photo, elle espère grandement montrer que la beauté est partout et que celle-ci peut apparaître de différentes façons.
Armurita
Invitée cosplay
Cosplayeuse depuis maintenant plus de 10 ans, Armurita est du genre à se faire remarquer pour son attention aux détails et ses techniques de confection. On lui associe souvent la résine comme matériel de prédilection et son expression « mets de la résine! » Autant adepte de couture que de confection 3D, elle s’efforce de pouvoir trouver des costumes et des styles différents à chaque création en plus d’apprendre quelque chose de nouveau à chaque projet.
Du genre expérimentatrice, Armurita connait différentes techniques de travail et adore utiliser des matériaux inusités. Elle aime particulièrement donner des conseils et aider tous les cosplayers qui ont besoin par le biais de panels ou encore sous rencontre et discutions privées.
Maintenant master international, Armurita à déjà reçu de nombreux prix reconnaissant son travail de confection ainsi que ses présentations sur scène. Elle s’efforce de toujours présenter ses costumes de façon originale et artistique à la fois. Armurita à également été présente auprès de la communauté cosplay en temps que juge et directrice de mascarade. Depuis qu’elle y a gouté, il n’y a plus une seule convention à laquelle elle assiste sans être quelque part autour de la mascarade.
Melissa « Jusdepomme » Langlois
Invitée cosplay
Mélissa Langlois, alias Jusdepomme, a découvert le cosplay en 2006. Elle s’est fait remarquer pour ses présentations originales lors des mascarades, qui plaisaient autant au public qu’aux juges, ce qui lui a valu de nombreux prix. Ce qu’elle préfère, ce sont toutes ces petites choses pour embellir un costume (perles, broderies, accessoires, etc.) ainsi que le défi de la réalisation. Elle est également une maman cosplay et apporte son petit garçon avec elle lorsqu’elle le peut.
Elle est très impliquée dans la communauté et aime aider les autres avec des conseils ou lors de panels. Son but est de promouvoir le cosplay et d’aider les gens à faire leurs premiers pas dans ce merveilleux passe-temps.
Elle a été directrice pour des mascarades et été juge lors de plusieurs festivals. Lorsqu’elle n’aide pas aux mascarades, elle compétitionne dans les mascarades à titre de Maître international.
Karine « FrenzyWonder » Pasquier
Invitée cosplay
Karine, alias FrenzyWonder ou Derp pour les intimes, se déclare fièrement comme étant une Master qui est loin de se prendre au sérieux.
Elle compte au dessus de 65 costumes à son actif et d’une quinzaine de prix en mascarade. *Petite tape dans le dos comme félicitation.* Armée de très peu de patience pour les appliqués et le sablage, c’est avec passion, en écoutant des films de Barbie, qu’elle se met à la tâche. Ses costumes proviennent d’anime, de jeux vidéos, de comic ou d’autres médias et cette diversité est probablement une de ses plus grandes fiertés.
Si vous la cherchez en convention, tendez l’oreille et cherchez la plus grosse source de bruit, est-ce son énergie naturelle ou sa canette de Monster à la main qui en est la cause? Probablement les deux.
Karine hante et errent les conventions depuis maintenant 7 ans et les mascarades depuis 3 ans. Et elle est bien loin d’avoir terminé de terroriser et amuser les foules.
Komachi Montréal
Danse, chant et musique traditionnelle
Kayo Yasuhara
Directrice artistique et fondatrice de Komachi Montréal
Kayo Yasuhara a étudié le théâtre à l’Université Tamagawa de Tokyo, au Japon. Elle a étudié les fascinants théâtres et arts de la scène japonaise que sont le Kyogen, le Kabuki, le Kodan, le Rakugo et le Taïko. Elle a étudié le Kyogen Izumi-ryu et le Noguchii taïso (une forme de gymnastique japonaise) avec Monsieur Yukou Ishizuka, et les danses de Kabuki avec Monsieur Isaburo Hanayagi. Elle a obtenu son baccalauréat en art dramatique en 1990.
De 1990 à 1992, elle a participé à divers pièces de théâtre, spectacles de comédie, émissions de télévision ainsi que joué dans un opéra. En 1992, elle a interprété le premier rôle, « Natsumi », de la pièce The Summer in Karafuto 1945 au théâtre Tsukiji Hongan-ji de Tokyo. Elle a aussi joué le rôle d’un samouraï adolescent, « Natsunoshin », dans la pièce Shimotsuki no Hoshi no shita de (Sous le ciel de novembre) au Studio Akashi de Tokyo. En 1994, elle prend des cours de chant populaire et jazz avec mademoiselle Linda Griffin, de « The School of the Natural Voice » à Los Angeles. Depuis 1996, elle interprète régulièrement des danses de style kabuki (dont elle est la chorégraphe) en plus de chanter des chants traditionnels japonais à Montréal et au Québec lors d’événements culturels liés au Japon. En 2000, elle joint les rangs de l’ensemble montréalais de percussion japonaise Arashi Daiko, en plus de prendre des cours de chant avec Monsieur Ivon Claude du Studio Orphée de Montréal. À l’été 2006, elle entreprend une formation en danse folklorique japonaise avec monsieur Shohei Kikuchi, président de l’association de danse traditionnelle japonaise « Manyoshu », de la préfecture d’Akita dans le nord du Japon. Ce sera au printemps 2006 qu’elle devint membre de l’Ensemble Matsu Také avec lequel elle danse, chante et joue de la percussion japonaise.
Sur le Web :
http://www.komachimontreal.com/
Ryunosuke Yamazumi
Jongleur japonais
Ryunosuke est un impressionnant jongleur du Japon, C’est dès son plus jeune âge.qu’il a trouvé sa voie dans la jonglerie. Ce japonais passionné a une florissante carrière de jongleur qui s’est sans cesse renouvelée par de nouveaux succès. Il a gagné une médaille d’argent au Japon Championship Otedama et une médaille d’or au MJF Junior Competition de Tokyo. Fasciné par le cirque, il a également développé son art par des pratiques complémentaires en danse et en théâtre. Ryunosuke est le premier japonais à avoir fréquenté l’École de Cirque de Québec ou il a créé son fameux numéro de jonglerie avec des ballons.
D’ailleurs, il a présenté ce numéro sensationnel lors de galas, pour des compagnies de cirques ainsi que dans une foule de festivals partout au monde: en Canada, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Belgique, aux États-Unis, en Afrique, en Australie et au Japon. Cet artiste continue de soulever les applaudissements et la satisfaction de tous et chacun en utilisant CINQ gros ballons. Il a également remporté le concours Talents Extremes 2009 et gagné le deuxième prix à l’émission de télé de Zoink’d in Canada.
Dans l’espace, un homme libre de toute gravité explore les limites de son corps en utilisant le poteau. Il va utiliser une musique bien connue des Otakus en clin d’œil à ceux-ci durant ses prestations pour Nadeshicon. Beauté et origine de l’homme seront au rendez-vous!
Arisa Meguro
Contorsionniste japonaise
Arisa est l’une des rares contorsionnistes au Japon. En fait, elle est la seule à pratiquer cet art.
Vous serez surpris par sa grande souplesse, ses mouvements fluides et sa solidité.
Elle est présentement étudiante à l’école de cirque de Québec où elle se perfectionne dans sa discipline et s’enrichit de nombreuses découvertes.
Richard Fournier
Poète, écrivain, journaliste, sociologue et haïkiste
Depuis 1988 ont paru ses essais, poèmes et nouvelles dans plusieurs revues au Québec et en France.
Il a publié :
Les Dunes de Tanakra
poèmes (Faye, 1999)
Une atmosphère américaine,
nouvelles (Carte blanche, 2007)
Auteur de contes littéraires, on l’a entendu entre autres au Moulin du Portage, à CHOQ-FM et à Radio Centre-Ville à Montréal ; en récital de poésie à Québec Aux oiseaux de passage, au Studio P, au Café Babylone, au Sainte-Angèle, au Musée de la civilisation, au Krieghoff et à l’Agitée.
Aussi détenteur du Prix spécial du jury à l’événement Les obsédés textuels, Printemps des poètes de Québec 2011.
Pour plus d’informations : leRÉCI(F) – Fournier, Richard
Richard Fournier, haïkiste
Initiation intellectuelle
Sociologue, son constant intérêt pour la philosophie comprend le bouddhisme. Poète, il fréquentait les classiques (Bashô, Buson, Issa, Shiki, Ryokan).
Initiation pratique
(Haïku Québec, 2005)
Sous la direction d’Abigaïl Friedman, diplomate américaine qui a vécu trois ans au Japon, parle le japonais, et fut l’élève de la maîtresse haidjin Kuroda Momoko.
Ensemble Matsu Také
Le seul ensemble de musique japonaise au Québec
Émiko Toguchi, Michel Dubeau et Bruno Deschênes ont créé en 2002 un trio de musique japonaise consacré à faire connaître la musique japonaise au Québec. Emiko Toguchi joue du koto, la cithare sur table japonaise aux sonorités de harpe. Michel Dubeau et Bruno Deschênes jouent du shakuhachi, la célèbre flûte de bambou japonaise dont le répertoire premier est celui des moines Zen bouddhistes japonais. Les trois musiciens jouent ensemble depuis 1997, mais ce sera en janvier 2002 qu’ils formeront officiellement l’Ensemble Matsu Také. Le quatrième membre de l’ensemble est Kayo Yasuhara qui s’est joint à l’ensemble en mars 2006 et qui possède une formation en théâtre, en danse, en chants traditionnels japonais, ainsi qu’en percussion japonaise, ayant été membre de l’Ensemble de percussion japonaise de Montréal Arashi Daïko. Au printemps 2008, le percussionniste Ignatius Kim, aussi ancien membre de Arashi Daïko, s’est joint à l’ensemble.
Le quatuor désire faire connaître aux mélomanes la musique de chambre classique japonaise. Cette musique est empreinte d’un esprit bouddhiste typiquement japonais. Elle est même considérée par plusieurs comme une musique de méditation, surtout que le répertoire solo du shakuhachi des moines Zen bouddhistes est au départ un répertoire de musique de méditation. La musique japonaise est d’une profonde sérénité, tout en étant intimement liée aux thèmes de la nature.
Le répertoire que ces musiciens comprend des pièces classiques en duo, en solo et en trio, dont certaines datent de plus de 250 ans, des chants folkloriques bien connus donto un chant date de plus de 1200 ans, des pièces contemporaines, parmi lesquelles l’auditeur saura reconnaître des mélodies aux couleurs typiquement japonaises. A ce répertoire s’ajoutent aussi des pièces et des arrangements originaux. L’Ensemble Matsu Také désire faire connaître la très grande variété de la musique traditionnelle japonaise.
Le nom « Matsu Také » signifie pin et bambou, deux arbres importants de la symbolique, la mythologie et les arts japonais.
Sur le Web :
http://www.musis.ca
http://matsu-take.bandcamp.com
http://www.youtube.com/
http://radio3.cbc.ca/#/bands/
Danse butô
Présenté par Mario Veillette
Le butô est une danse contemporaine d’origine japonaise, mise au point au début des années 1960 par Tatsumi Hijikata (1928-1986) et Kazuo Ohno (1906-2010), deux artistes de la danse. Cette danse est basée sur l’improvisation gestuelle et l’utilisation de l’imagerie comme source d’inspiration. Le butô vise à développer le rapport intime du danseur avec son monde intérieur, forgé de pulsions et de forces vitales, afin que celui-ci devienne la base du mouvement dansé. Au Japon, il est désigné sous le nom de Ankoku Butoh (danse des ténèbres). Il y est encore pratiqué, mais souvent de manière underground. Arrivé en Occident au début des années 1980, le butô est maintenant répandu à travers le monde, pratiqué autant en Allemagne qu’au Brésil, en Norvège qu’en Israël et au Québec. Le butô fait l’objet de nombreux stages d’apprentissages et de Festivals internationaux et reste toujours un peu indéfinissable car il existe autant de formes de butô qu’il existe de praticiens.
Au contact de thèmes suggérés par des mots ou des images, le praticien du butô joue sur différents registres du vivant (végétal, animal, humain) mais aussi du minéral. S’ouvrent alors pour le danseur de nouveaux paysages, ou horizons gestuels, qu’il développe à l’intérieur même du processus d’élaboration des formes. Le danseur (butôka) y est présent, en état de conscience occasionnellement modifiée, allant quelquefois jusqu’à l’épuisement. Le mouvement est varié, souvent lent, parfois extrêmement lent, comme un questionnement adressé aux impressions profondes. Cette danse de vie, impliquant de façon intrinsèque la reconnaissance de la mort, trouve sa mouvance parmi les mémoires enfouies dans la chair, qu’elles soient infantiles, matricielles, ancestrales ou culturelles.
L’Association de Chado Urasenke Tankokai de Québec
Cérémonie du thé
L’Association de Chadô Urasenke Tankôkai de Québec a obtenu sa reconnaissance officielle en tant que 107e association au monde de la part du Grand Maître de l’école Urasenke à Kyoto au Japon. L’école Urasenke est représentée dans 35 pays sur tous les continents. Notre club de cérémonie du thé de Québec organise des démonstrations depuis 1987 dans divers lieux publics tels que des universités, musées, bibliothèques et plusieurs festivals culturels. Notre but est la diffusion de cet art japonais.
La cérémonie du thé
Dans le monde entier, le thé a une vaste popularité, mais aucun pays ne possède autant de richesse culturelle sur le thé que le Japon. Au Japon la manière dont on prépare un bol de thé a été particulièrement raffinée par le développement culturel et esthétique.
Quand on est invité à goûter un bol de thé vert, les invités se réunissent dans une pièce conçue pour la Cérémonie du thé; ils ont non seulement la joie de se réunir, mais aussi de se détendre et d’exclure les soucis quotidiens. C’est l’hôte qui prépare lui-même les lieux par un nettoyage total; il met une calligraphie, prépare de petits repas pour l’agrément des invités selon les occasions. Pour réaliser cette sorte de réunions, il faut être initié et connaître la discipline du Chado, terme qui signifie la voie du Thé. Le Chado est un terme relativement récent puisqu’il est apparu au cours du 16e siècle. Cette manière de boire le thé vert en poudre fut transmise par un moine zen revenu de Chine au 12e siècle. À cette époque-là, le thé était considéré comme un stimulant pour l’étude et la pratique religieuse.
À partir de là, plusieurs maîtres contribuèrent au développement culturel japonais grâce au Chado. Parmi ceux-ci, Sen Rikyu (1522-1591) accomplit une synthèse des différentes manières de boire le thé avec un grand génie esthétique et une dévotion remarquable pour l’accomplissement du Chado. Le Chado est conçu comme un mode de vie, aboutissant à une véritable œuvre d’art, contribuant au développement artisanal du Japon, mais aussi faisant évoluer la manière dont on vivait dans la vie quotidienne.
Quatre caractères, Wa, Kei, Sei, Jaku, donnent l’esprit fondamental du Chado. Ces caractères furent désignés par Sen Rikyu. Wa signifie l’harmonie, harmonie entre l’hôte et l’invité, harmonie avec la saison, harmonie des ustensiles. Kei signifie le respect qui naît dans les sentiments de chacun et aussi vis-à-vis des objets. Sei exprime la pureté, l’honnêteté et la sérénité du cœur. Enfin, Jaku signifie l’état d’esprit, que l’on pourrait traduire par bonheur et la paix du cœur dès lors qu’ont été réalisés Wa, Kei et Sei.
Les moines qui apportèrent le thé établirent les bases spirituelles du Chado, à savoir: poursuite de la réalité et du sens de la vie par une recherche fondamentale de soi, le dépassement du Bouddhisme zen qui donne une aisance psychologique au maître de thé pour développer l’esthétique du Chado. Le Chado n’est pas seulement une méthode de préparation du thé, c’est aussi l’art de fabriquer des ustensiles, la connaissance profonde des arts et de la littérature, de l’architecture, de la construction des maisons de thé, de l’art des jardins, et de bien d’autres domaines encore.
Maintenant que les progrès modernes et la mécanisation évitent à l’homme les tâches les plus rudes, le temps et l’énergie pris pour la préparation d’un bol de thé pourraient paraître inutiles. Mais une tasse de thé préparée suivant les principes du Chado est un rituel destiné à rétablir la tranquillité intérieure qui est un besoin fondamental de l’homme. C’est un rituel de simplicité et de sobriété dans lequel chacun peut trouver « la paix d’un bol de thé ».
Sabrina Cloutier
Artiste multidisciplinaire
Sabrina Cloutier est une artiste multidisciplinaire qui mélange art du feu, danse orientale et prestations théâtrale. Suite à plusieurs années de théâtre et de baladi, Sabrina a découvert le crachage de feu et la jonglerie contact. Puis, celle-ci devenue passionnée par le Japon a décidé de s’inspiré de numéros traditionnels pour intégrer cette belle culture à ses performances. La scène la passionne depuis maintenant 11 ans et elle s’y adonne toujours en y mélangeant ses multiples passions.
Charles-Henri Bouchard
Né à Ste-Anne de Beaupré en 1930, cours classique au séminaire Saint Alphonse, entrée chez les Rédemptoristes en 1950, BA es arts, de l’Université Laval, en 1952, ordination sacerdotale en 1956. Missionnaire au Japon en 1958, MA en sciences religieuses en 1966, de l’Université Saint-Paul, Ottawa. Curé de plusieurs paroisses, directeur de maternelle, membre de la Commission Épiscopale Oecuménique pendant 17 ans, chargé de formation des séminaristes rédemptoristes pendant 8 ans, a écrit quelques articles sur la pastorale. Retour au pays en 2004. depuis ce temps il travaille à la pastorale du sanctuaire de Ste-Anne de Beaupré, et prépare un essai sur la culture de ce pays et la présentation de l’évangile dans un pays bouddhiste. Il animera le panel « Quelle est l’attitude spirituelle qui anime cette riche culture? » le dimanche, de 17h à 18h!
Description du panel :
Jusqu’à la deuxième guerre l’attitude morale était le giri ninjô un sentiment de dette envers toute personne qui a donné de l’aide. et selon le confucianisme on désirait un gouvernant vertueux .Après la deuxième guerre fut votée la mise en pratique d’une constitution démocratique incluant donc les droits humains, selon laquelle le pouvoir réside dans le peuple, l’Empereur étant le symbole de l’unité du pays. Chaque citoyen est sujet des droits et responsable de sa propre vie et responsable aussi envers le développement de la société. Ces citoyen(ne)s d’une société de plus en plus ouverte à l’universalisme ne sont-ils pas tous appelés également à participer à une «éthique civile planétaire » dont on parle aujourd’hui?
Jiu-jitsu Brésilien
Mitsuyo Maeda, né au Japon en 1879, pratiqua d’abord le sumo, avant d’entrer au Kodokan (école de judo de Jigoro Kano créée en 1882) en 1897. En 1904, alors 4e dan de judo et spécialiste du Ne-Waza (partie regroupant les techniques au sol du judo), il partit aux États-Unis pour faire la démonstration de cette nouvelle discipline en affrontant des lutteurs. En 1907, il effectua un premier séjour au Brésil. En 1920, il participa à l’établissement de la colonie japonaise au Brésil. Au cours de ses séjours au Brésil, il participa à des combats de lutte libre (Vale-Tudo) pour montrer la supériorité du Kodokan et pour gagner un peu d’argent. Il fut alors surnommé « Conde Koma ». Durant cette période, il fut aidé par Gastão Gracie. En remerciement, il enseigna l’art du combat à son fils, Carlos Gracie, qui l’enseigna à son tour à ses frères. Devenu leader du clan Gracie, le jeune élève Carlos qui était attiré par le combat réel modifia rapidement les techniques apprises par Maeda pour les adapter à la réalité brésilienne. Carlos Gracie commença à tester lui-même ses techniques en lançant lui aussi des défis. Carlos Gracie avait la réputation de combattre n’importe qui, sans distinction de taille ou de poids. Il demeura invaincu et devint une légende au Brésil.
Hélio Gracie était un autre frère de Carlos, mais le médecin lui avait déconseillé de pratiquer, en raison de sa santé fragile et il se contentait donc de regarder et d’écouter l’enseignement de son frère. À l’âge de 16 ans, il remplaça Carlos lors d’un cours, en se servant de ce qu’il avait mémorisé. Il commença ainsi la pratique du Jujitsu, mais repensa le jujitsu traditionnel avec l’esprit brésilien et adapta les mouvement à sa propre physionomie, étant de petit gabarit (1m65, 64 kg). Il créa ainsi un art martial propre, qui reste jeune par rapport à son ancêtre japonais. Une première tentative d’imposer cet art martial face à l’école japonaise échoua ainsi en 1951, avec la défaite d’Hélio Gracie face au champion du Japon de Judo, Masahiko Kimura. La popularité du Jiu-jitsu a littéralement explosée avec la victoire de Royce Gracie lors de ses victoires au premier, second et quatrième événement Ultimate Fighting Championship au le debut des années 1990.
Sensei Danny Martel
Sensei Danny Martel pratique le Karaté Shotokan Traditionnel – style du tigre depuis 1975. Il débute lorsqu’il était étudiant au CEGEP. Il réussit les passages de grades de 1er Dan (Shodan) et 2e Dan (Nidan) de la célèbre Japan Karate Association ( JKA ). Il obtient par la suite son grade de 3e Dan ( Sandan) en 2003 et 4e Dan (Yondan) en 2010 de Japan Karate Shotokaï ( JKS ). Il enseigne le Karaté depuis 1980.
Il participe à différentes compétitions, camps d’entraînement, cliniques, stages et s’entraînent avec les plus grands Maîtres du Shotokan. Il a la chance de recevoir l’enseignement de Masatoshi Nakayama, descendant direct du fondateur de ce style de karaté qui regroupe plus de 10 millions d’adeptes partout dans le monde. Il pratique l’aïkido et l’aïkijo avec Toshiro Suga pendant 1 an, le Tai Chi style Yang avec l’Association chinoise de Québec pendant 2 ans et fait du Tao Kwon Do pendant 1 an. Il vient de commencer en septembre 2012 le Iaido Seitei iai.
Il fonde FUDOSHIN – Québec en 1994 et met en place en 2007 le Karaté Adapté à l’IRDPQ ( Institut de Réadaptation en déficience physique de Québec ) pour des personnes avec des limitations debout et en fauteuil roulant. Il continue de s’entraîner activement et recherche sans cesse à atteindre des niveaux techniques toujours plus élevés. Sa devise : TOUJOURS FAIRE MIEUX LA PROCHAINE FOIS.
http://www.fudoshin-quebec.
Bujinkan Québec
Sensei Bernard Grégoire
Le style du Bujinkan est l’un des rares bugeï qui subsiste au Japon. Il se distingue des autres arts martiaux par l’absence de compétition ; il ne s’agit pas d’un sport de combat. En outre, bien que revêtant une dimension philosophique, le Bujinkan a comme but premier la survie. Son objectif ultime vise à permettre au pratiquant de se sortir indemne d’une agression. Qu’il s’agisse de contrer une attaque au couteau sous la gorge, d’affronter plusieurs adversaires ou de manipuler différentes armes traditionnelles japonaises, cet art martial comporte de nombreuses facettes à découvrir. L’école Bujinkan Québec enseigne aussi les projections, les contrôles articulaires et les frappes, l’étude des kyushos et des mécanismes de fonctionnement du corps humain. Vieux de plus de 900 ans, le budo taijutsu est probablement l’art martial le plus complet que l’on puisse trouver, et ses techniques ont traversé avec succès les époques troubles du Japon.
Bernard Grégoire entame sa quarantième année dans le monde des arts martiaux. Dans le système de gradation de l’école Bujinkan de Maître Hatsumi, il a atteint le plus haut degré, soit quinzième dan. Il est également ceinture noir 6e degré en Kempo. Dans le but de parfaire son entraînement, il se rend au Japon deux fois par année. Spécialiste dans le domaine de la sécurité, il forme des professionnels de la sécurité à faire face à la réalité du combat. Bernard Grégoire est aussi l’auteur des livres Le clan des Millepertuis, un roman jeunesse sur la philosophie du guerrier et des arts martiaux, et Gestion de la sécurité dans les événements spéciaux.
Vous pouvez consulter le site internet de Bujinkan Québec afin d’obtenir plus d’informations sur la philosophie et l’historique de l’école.
Maxime Chouinard
Club de Kenjutsu de Québec
Maxime débute la pratique des arts martiaux il y a plus de 15 ans avec le karaté kyokushin. sa passion l’amènera vers l’étude du sabre japonais qu’il enseigne toujours aujourd’hui, le jiu jitsu, les techniques de combat militaire, la canne française, le bâton irlandais et plusieurs autres. Sa passion pour les arts martiaux l’a amené à faire des recherches plus approfondies notament sur l’histoire et le patrimoine de ces pratiques. Il a depuis été invités à enseigner à plusieurs endroits notament en France, aux États-Unis et au Mexique.
Le kenjutsu est le maniement du sabre japonais. L’école présentée est celle du Hyoho Niten Ichi Ryu, une école fondée au XVIIIe siècle par le célèbre Myamoto Musashi,un samourai vétéran des guerres civiles, vainqueur de près de 60 duels et reconnu pour sa vision pragmatique du combat qu’il mit sous écrit avec Le Traité des Cinq roues. Devenu une véritable légende au Japon les romans, manga, films et séries sur sa vie sont nombreux et souvent reconnus comme des classiques (La Pierre et le Sabre, Samurai trilogy, Vagabond). Son école est présentement dirigée par le 11e successeur de Musashi, Iwami Toshio et se concentre sur la pratique de seiho; des exercices de combat travaillant la technique, le timing et l’état d’esprit. L’étudiant débute sa pratique avec le sabre long, le sabre court, les deux sabres, le bo (un bâton de six pieds) et finalement le jujutsu ou combat à main nues ce qui en fait un art martial très polyvalent.
Le club de Kenjutsu enseigne également des techniques de dégainage à travers un autre style, le Toyama ryu, crée en 1926 pour l’instruction des officiers de l’armée japonaise. Le club pratique aussi le Ryukyu Bojutsu, un style de bâton long provenant de l’archipel d’Okinawa.
Olivier Bordry
Groupe : Dojo de Beauport
Le iaido est un art martial traditionnel japonais. C’est l’art de dégainer le katana, de se défendre et/ou de porter une attaque dans le même temps, debout ou au sol, contre un ou plusieurs adversaires.
Les techniques remontent au 15è et 16è siècle, et il existe de nombreux styles et écoles traditionnelles.
La base du travail est surtout la répétition et l’amélioration des kata, des combats courts dans diverses situations prédéfinies.
La recherche de perfection dans le geste et la justesse de l’attitude et de l’esprit en font un art martial qui est resté traditionnel, dans lequel le pratiquant s’engage sur du long terme.
Olivier Bordry (3è dan) est l’instructeur de iaido au Dojo de Beauport depuis 2006. Il a débuté le iaido en France en 1995 avec Michel Ribal (5è dan) et s’est perfectionné lors de nombreux stages avec des experts en France, au Japon et au Canada.
Le groupe de iaido du Dojo de Beauport, composé tant d’anciens que de nouveaux, pratique 2 fois par semaine, en plus de la participation à des échanges avec d’autres clubs, des stages au Québec et Ontario et des démonstrations afin de faire mieux connaitre le iaido, cet art martial très riche mais encore méconnu.
Pour plus d’informations : http://www.dojobeauport.com/